Vivre debout, les yeux ouverts.
Épouser la nuance, accepter l’ambiguïté, sans tomber dans la confusion.
Sortir du carcan paralysant du déni et affronter, lucidement, la réalité.
Pleurer oui, mais sur les morts et non sur nous-mêmes.
Refuser d’être les prochains. Agir en citoyens.
13 novembre 2015