Samuel Paty, tout est dit

(c) Jean-Claude de Castelbajac

En saignant. 
Aujourd’hui, ça dit bien son nom.
Prof et fête.
Aujourd’hui, un non-sens sans nom.
Samuel, pourtant. Le prophète.
Nom de Dieu, étymologiquement.
Paty de patere, souffrir, subir. 
Dieu dont l’idée souffre en moi.

Samuel Paty. Paix à son âme. 
Pas à la nôtre. 
Sauvons la liberté.

Evelyne Guzy, 16 octobre 2020

Vient de paraître : Marginales 304

Dans ce numéro de Marginales consacré à l’obsédante question, Evelyne Guzy nous plonge dans L’Ultime confinement. Cauchemard ?

L’ULTIME CONFINEMENT

Vous n’auriez jamais dû accepter. Et vous voilà, coincé dans cette pièce, quatre murs autour de vous, quatre murs qui vous enferment et pour seule compagnie ce palmier en plastique, parce que les plantes vertes, c’est bien connu, ça a besoin de lumière pour vivre. Vous aussi. Et pourtant quatre années que vous êtes ici, cloîtré, peut-être déjà mort ? Comment savoir ? Eux, ils savent.

Vous auriez dû vous révolter. Quand ils vous ont dit que pour protéger votre famille, vos amis, votre pays, le monde entier, ce n’était pas deux semaines mais bien plus que vous devriez rester. Combien ? Ils ne vous ont pas répondu. La recherche n’accepte pas la contrainte du temps : face à la première manifestation d’un virus, la vigilance doit être absolue. Et cette nouvelle souche, elle leur faisait peur, elle leur rappelait les Hantavirus découverts durant la Guerre de Corée ; plus de quinze qu’il avait fallu à la science avant de les caractériser. Et avec ce virus, le vôtre, la première étape même posait problème : la mise en culture. Comment dès lors préserver le monde de cette calamité, sinon en analysant, sans relâche, les gouttelettes de votre respiration extraites via un système sophistiqué de ventilation ? Peut-être qu’ainsi parviendraient-ils à développer la sérologie nécessaire à la création d’outils de détection, puis de traitement. Question de temps, seulement. La science vaincra les ténèbres, assurément. Ce serait bien, non, si un vaccin portait votre nom ?

Alors, avec cette affreuse manie de plier l’échine à chaque fois qu’on joue sur vos sentiments, votre sens des responsabilités – ou votre égo ? –, vous n’avez rien rétorqué, vous avez pris la tangente. Vous avez commencé à tracer avec vos ongles de petites barres sous la table, une par jour, jusqu’à aujourd’hui, quatre ans.

Vous auriez dû vous enfuir quand, après deux ans, trois ans, vous aviez compris que leur travaux piétinaient, que jamais ils n’identifieraient l’agent pathogène indispensable au diagnostic de la maladie. Qu’ils allaient vous garder là, juste pour prévenir la contamination – mais était-ce vraiment cela leur objectif ? – au risque de vous voir crever d’angoisse ou d’ennui. Principe de précaution. Mais alliez-vous crever ? Ils ne vous ont pas répondu, ils n’en savaient rien. Juste que vous restiez un porteur asymptomatique de l’ennemi, malgré ses mutations. 

Vous auriez dû recracher. Recracher cette mixture infecte qu’ils vous donnaient trois fois par jour. Recracher ce goût de sel, ces relents chimiques de médicaments, les seuls susceptibles de vous tenir tant bien que mal en vie, si toutefois on pouvait décrire votre état ainsi. Recracher vos tripes si nécessaire. Vous auriez dû, certes, vous auriez dû.

Mais.

La force de l’inertie. Et cette forme de lâcheté qu’on appelle la raison. Et puis cette idée que ce n’était pas possible. Pas possible qu’un homme inflige cela pour rien à un autre homme. « Pour le bien de l’Humanité, vous ont-ils expliqué, pour vaincre la maladie, pour la science. » Mais comment y croire encore, sincèrement, après quatre ans ? Était-ce bien un virus qu’ils étaient en train de tester ? 

Alors vous vous êtes dit « je ne suis plus moi ». Et une voix au fond de vous vous a provoqué : « Bouge-toi mon vieux, tu n’es pas une larve, nom de Dieu! » et vous avez regardé du côté de cette trappe qui s’ouvrait une fois par jour pour qu’on y fasse glisser votre portion, avec mille précautions, pour éviter l’infection, prétendaient-ils. Vous avez constaté : « c’est trop petit. » Et c’était vrai. Puis vous avez arraché un à un les haut-parleurs qui leur permettaient de vous manipuler. Et les micros aussi, qui maintenaient votre lien avec eux. Votre seul lien au monde, le monde de vivants, depuis que votre famille, vos amis, votre pays, le monde entier, vous avaient abandonné. Comme si vous étiez un criminel, un pestiféré, un danger pour l’Humanité. 

Vous aviez gagné. Mais pas tout à fait, car ils ne pouvaient plus vous entendre. Vous avez crié : « Je suis un Homme. Un homme libre. » Et puis vous avez entendu une, deux, trois, cent, mille voix autour de vous. Celle de tous les confinés pour le bien de l’Humanité. A l’unisson, comme un seul être humain.

Oui, je suis un Homme libre. Tout simplement.

Evelyne Guzy

*

De Virus Illustribus (II), avec la participation d’Anatole Atlas, Jean-Pol Baras, Thilde Barboni, Jean-Marc Defays, Véronique De Keyser, Alain De Kuyssche, Renaud Denuit, Sara Dombret, Rose-Marie François, Sylvie Godefroid, Kenan Görgün, Laurent Grison, Evelyne Guzy, Anne-Michèle Hamesse, Henri de Meeûs, Philippe Remy-Wilkin, Marianne Sluszny et Monique Thomassettie.

Génocide des Tutsi – Procès d’Assises

L’Homme debout. Peinture murale, Bruxelles.
(c) Bruce Clarke, 2019.

Le 4 novembre 2019, au Palais de Justice de Bruxelles, s’est ouvert le 5e procès d’Assises suite au génocide contre les Tutsis du Rwanda en avril 1994 ; en cent jours, un million d’individus ont été assassinés. 
Face à l’impunité et au négationnisme, les tribunaux jouent un rôle fondamental pour que la justice soit faite, la vérité établie et la mémoire ravivée. 
Lors de chacun des procès, des parties civiles – parents et proches de personnes assassinées – redonnent vie et parole aux victimes, conseillées par leurs avocats. Les rescapés font fréquemment l’objet de menaces, surtout lorsqu’ils dénoncent les méfaits de leurs tortionnaires. Ils n’ont pas toujours les moyens de faire face aux frais de justice. Ils ont besoin d’aide.
C’est pourquoi s’est créé le Groupe de soutien aux Parties civiles.

Le Groupe de soutien aux Parties civiles tient ses sympathisants informés via une Page Facebook (@soutienpartiesciviles). Vous trouvez ici les Impressions de procès rédigées par Evelyne Guzy.

La voiture de Jeanne

La voiture de JeanneTu es assise à côté de Jeanne, deux ans. Elle, sagement posée sur son petit siège en osier face à une pile de feuilles, un gros crayon en main, gribouille énergiquement, sans même regarder le résultat de ses efforts. Elle te fixe. « Tu veux que je te fasse un dessin ? » Elle opine. Et te voilà en train d’esquisser une voiture. Le contour, d’un seul gros trait. Puis les roues, pneus noirs bien arrondis. Un fard jaune, pour la nuit. Des fenêtres et des portes, pour qu’elle puisse pénétrer dans l’auto.

L’enfant pose un pied sur la table. Tu la regardes avec curiosité. Que veut-elle ? « Jeanne, voiture ! » As-tu bien compris ? La voilà maintenant qui monte sur sa chaise. « Jeanne, voiture ! » Oui, c’est bien ce que tu présentais. « Je vais poser ta voiture à terre, et nous allons grimper dedans. » Vous voilà donc assises toutes les deux sur la feuille de papier. Tu tiens le volant, elle aussi (puisque c’est toi qui a conçu la voiture, rien n’empêche deux volants). « Vroum, vroum… » Mais Jeannette n’est pas encore satisfaite. Il faut reprendre la feuille et essayer de la traverser, afin de s’asseoir sur le siège. Tu tentes une percée vers le fauteuil du salon. Elle n’est pas dupe. Tu t’installes avec elle sous la table de la salle à manger, vous regardez entre les pieds des chaises, comme par la fenêtre. Elle n’est guère plus satisfaite.

Retour vers le dessin. « On va mettre Jeanne dans la voiture. » Tu t’appliques, trop : le résultat n’est pas à la hauteur. « Madame », désigne l’enfant en pointant le profil sensé la représenter. Bon, tu traces sommairement un rond et quelques lignes hirsutes sur un crâne de fortune, surmontant un vague triangle pour le corps. « Jeanne est dans la voiture de la madame », conclus-tu.

A voir son sourire, c’est sûrement vrai.

Evelyne Guzy

Debout, pour Paris

IMG_7490Vivre debout, les yeux ouverts.
Épouser la nuance, accepter l’ambiguïté, sans tomber dans la confusion.
Sortir du carcan paralysant du déni et affronter, lucidement, la réalité.
Pleurer oui, mais sur les morts et non sur nous-mêmes.
Refuser d’être les prochains. Agir en citoyens.

—-
Evelyne Guzy, 13 novembre 2015

Sur BXFM 104.3, on découvre des auteurs belges !

En 2015, un mardi sur deux à 12 H 30, Evelyne Guzy a rencontré pour vous un écrivain belge autour de son dernier livre.

 

 

23/6/15 : Charly Delwart, Chut, Seuil (roman).

 

 

26/6/15 : Grégoire Polet, Barcelona, Gallimard (roman).

 

 

 

2/6/15 : Michel Dufranne (dir.), Bruxelles Noir, Asphalte (collectif; nouvelles)… et aussi Edgar Kosma, Comment le chat de mon ex est devenu mon ex-chat, Onlit (roman).

 

 

19/5/15 : Daniel Simon, A côté du sentier, MEO (nouvelles).

5/5/15 : Martin Ryelandt, Le Cavalier, Maelström RéEvolution (roman).

28/4/15 : Xavier Deutsch, Vingt Centimes, Couleur livres (cantique).

 

31/3/15 : Jean-Baptiste Baronian, On ne voit pas la nuit tomber, de Fallois – L’Age d’Homme (nouvelles).

Ecouter : Melting Pot 310315

 

 

17/3/2015 : Isabelle Bary, Zebraska, Luce Wilquin (roman).

Ecouter : Melting Pot 170315

 

 

3/3/2015 : In Koli Jean Bofane, Congo Inc., Actes Sud (roman).

Ecouter : Melting Pot 030315

 

 

 

3/2/15 : Daniel Adam, Eaux perdues, Onlit (roman).

Ecouter : Melting Pot 030215

 

 

En 2014, chaque lundi à 12 H 30, Evelyne Guzy a dévoré pour vous des romans belges ou des ouvrages à la mode de Bruxelles et des Bruxellois. 

Vous accédez aux textes complets des chroniques en cliquant sur les titres.

15/12/14 : Jean-Pierre Orban, Vera, Mercure de France (roman).

 

 

 

8/12/14 : André-Joseph Dubois, Ma mère, par exemple, Weyrich (coll. Plumes du coq – biographie romancée).

 

 

Ecouter : Melting Pot 081214

1/12/14 : Véronique Bergen, Marilyn naissance année zéro, Al dente ( biographie romancée).

 

 

Ecouter : Melting Pot 011214

24/11/14 : Hedwige Jeanmart, Blanès, Gallimard (roman).

 

 

Ecouter : Melting Pot 241114

17/11/14 : Mathilde Alet, Mon Lapin, Luce Wilquin (roman) &

Joan Condijts, L’Homme qui ne voulait plus être roi, Genèse édition (roman).

 

Ecouter : Melting Pot 171114

 

10/11/14 : Caroline De Mulder, Bye bye Elvis, Actes Sud (roman).

 

 

Ecouter : Melting Pot 101114

 

3/11/14 : Philippe Smolarski, Feivel le Chinois (Carnets du ghetto), Le Castor astral (coll. Escales des lettres – roman) &

 Georges Lebouc, Bruxelles occupée ou la vie quotidienne sous l’occupation allemande, 180° éditions (histoire).

 

Ecouter : Melting Pot 031114

 

20/10/14 : Kenan Görgün, J’habite un pays fantôme, Couleur livres (Collection Je – récit) &

Christine Van Acker, Ici, Le Dilettante (récit).

 

 

Ecouter : Melting Pot 201014

 

13/10/14 : Tom Lanoye, Troisièmes Noces, trad. du néerlandais par Alain van Crugten, éditions de la Différence (roman).

 

Ecouter : Melting Pot 131014

 

6/10/14 : Eric Russon, Crispations, Lamiroy (roman) &

Sophie Flamand, Fusion, Lamiroy (roman).

 

Ecouter : Melting Pot 061014

 

 

29/9/14 : Alain Lallemand, Ma plus belle déclaration de guerre, Luce Wilquin (roman).

Alain Lallemand et Evelyne GuzyEcouter l’interview : Melting Pot 290914

 

 

22/9/14 : Vincent Engel, Les Diaboliques, Ker éditions (roman).

 

 

Ecouter : Melting Pot 220914

 

15/9/14 : Florence Richter, La Déesse et le Pingouin, Avant-Propos (conte philosophique) &

David Giannoni, Contes de Nod, Maelström ReEvolution (contes thérapeutiques).

 

 

Ecouter : Melting Pot 150914

8/9/14 : Véronique Biefnot, Là où la lumière se pose, Héloïse d’Ormesson (roman) &

Francis Dannemark, Aux anges, Robert Laffont (roman).

 

Ecouter l’interview : Melting Pot 080914

 

 

1/9/14 : Stéphane Lambert, Paris nécropole, L’Age d’homme (Contemporains – roman).

 

 

Ecouter : Melting Pot 010914

23/6/14 : Evelyne Heuffel, Villa Belga, MEO (roman) &

Evelyne Wilwerth, Miteux et Magnifiques, MEO (nouvelles).

 

Ecouter : Melting Pot 230614

 

16/6/2014 : Muriel Claude et Pierre Mertens, A la proue, CFC éditions (La Ville écrite – Beau-livre).

 

Ecouter : Melting Pot 160614

 

 

2/6/14 : Dominique Costermans, Petites coupures, Quadrature (nouvelles) &

Marianne Sluszny, Un bouquet de coquelicots, La Différence (nouvelles).

 

Ecouter : Melting Pot 020614

 

26/5/14 : Geneviève Damas, Histoire d’un bonheur, Arléa (roman) &

Marginales (revue).

 

 

Ecouter : Melting Pot 260514

19/5/14 : Armel Job, Dans la gueule de la bête, Robert Laffont (roman) &

Pierre et Jimmy Bourgeois, Bruxelles sous l’occupation nazie, Pré riant (photographies).

 

Ecouter : Melting Pot 190514

 

Le 12/5/14 : Serge Noël, Aux premières heures d’un jour nouveau, Maelström ReEvolution (roman)

& les booklegs Bruxelles se conte de Maelström :

 

 

Edgar Kosma, Une mauvaise histoire vraie,

Edith Soonckindt, La Ville de la pluie,

Julien Moulard, Premiers cercles.

 

 

 

Le 5/5/14 : Valérie Cohen, Alice et l’homme-perle, Luce Wilquin (roman) &

Corinne Hoex, Décollations, L’Age d’Homme (La Petite Belgique – fantaisie).

 

 

 

Le 28/4/14 : Alain van Crugten, En étrange province, L’Age d’homme (coll. La Petite Belgique – roman).

 

 

 

31/3/2014 : Anne Versailles, Viola, L’Arbre à paroles (récit).

 

 

 

 

Le 24/3/2014 : Patrick Delperdange, Patrick Delperdange est un sale type, Onlit Books (polar).

 

 

 

Le 17/3/14 : Giuseppe Santoliquido, Voyage corsaire, Ker éditions (nouvelles) &

Fatoumata Sidibé, Les Masques parlent aussiSaran (Art).

 

 

 

Le 10/3/14 : Nadine Monfils, Mémé goes to Hollywood, Belfond (inclassable) &

Bruxelles, L’Histoire en histoires, Région de Bruxelles-Capitale (enfants).

 

 

Le 24/2/14 : Nathalie Skowronek, Max, en apparence, Arléa (roman) &

Demarbaix et De Marck, Histoires de Bruxelles à travers ses grands sportifs, 180° Editions (patrimoine).

 

 

Le 17/2/14 : Antoine Wauters, Nos Mères, Verdier (roman).

 

 

 

 

Le 10/2/14 : Bernard Dan, Le Garçon du Rwanda, L’Aube (roman)

Vincent Glowinski et Ian Dykmans, Bonom, le singe boiteux, CFC éditions (Art).

 

 

 3/2/14 : Kate Milie, Noire Jonction, 180° Editions (polar).

 

Vient de paraître : Marginales 286

homoparentalitéOù il est question d’un père et de son fils qui aime les garçons, de bébés et de transmission, « Les Trois Fées », c’est le titre de la nouvelle d’Evelyne Guzy publiée dans « Paman, Mapa, l’espèce et moi » de Marginales.

Avec la participation de Frédéric Baal, Jean-Baptiste Baronian, Isabelle Bary, Jean-pierre Berkmans, Véronique Biefnot, Hermine Bokhost, Elise Buissière, François de Callataÿ, Bernard Dan, Alain Dartevelle, Alain De Kuyssche, Sossio Giametta, Marc Guiot, Evelyne Guzy, Corinne Hoex, Jack Keguenne, Jeannine Ma, Catherine Meeùs, Catherine d’Outrelemont, Françoise Pirart, Jean-Marc Rigaux, Liliane Schraûwen, Shéhérazade, Daniel Simon, Jehanne Sosson, Pascal Vrebos.

Programme de présentations autour du Martyr de l’Etoile

Boost Fondation Roi Baudoin,  27-9-12 et 30-1-13 – Atelier jeunes

Filigranes 10-11-12  – Présentation avec les auteurs de la collection Kill & Read

Foire du livre belge 17-11-12 (Le martyr de l’Etoile) et 18-11-12 (Revue Marginales) – Interview dédicace

Salon des écrivains du B’nai B’rith, 25 novembre 2012 – Dédicace

Filigranes, soirée caritative le 29-11-12 – Dédicace

Petit Filigranes 2-12-12 de 11 à 13 heures – Dédicace

Café littéraire Romans de gare, 5-12-12, Brasserie Sauvenière à Liège – Rencontre dédicace des auteurs de la collection

Hôtel de ville de Bruxelles 9-12-12 – Visite présentation autour du symbole de l’étoile

Foire du livre de Bruxelles 9-3-13 – Dédicace de 11 à 13 heures, stand Interforum 300

Digue des auteurs by Filigranes 3-8-13, Knokke – Dédicace

Présentation et dédicace à la librairie Filigranes

cover Le Martyr de l'Etoile - Evelyne GuzySamedi 10 novembre à 15 heures

A l’occasion de la sortie du Martyr de l’Etoile d’Evelyne Guzy, la librairie Filigranes organise une présentation dédicace des ouvrages de la collection Romans de gare – Kill & Read. Quatre auteurs répondent au micro de Laurence Housiaux, directrice des éditions Luc Pire.

Jean-Baptiste Baronian pour Meurtre à Waterloo
Evelyne Guzy pour Le martyr de l’Etoile
Marc J. Hermant pour Les dépeceurs de Spa
Anouchka Sikorsky pour Crime à Louvain-La-Neuve

A la librairie Filigranes – 40 avenue des Arts – 1040 Bruxelles

Vient de paraître : Marginales 284

Où il est question de la crise financière et du festival d’Avignon, « Le Trésor », c’est le titre de la nouvelle d’Evelyne Guzy publiée dans « Dérèglements de compte » de Marginales.

Avec la participation de Anatole Atlas, Jean-Baptiste Baronian, Jean-Pierre Berkmans, Elise Bussière, Valérie Constant, Bernard Dan, Luc Delisse, Thomas Depryck, Emmanuel Donnet, Marc Guyot, Evelyne Guzy, Corinne Hoeckx, Jean Jauniaux, Claude Javaux, René Krémer, Jean-Louis Lippert, Marc Lobet, Richard Miller, Catherine d’Outrelemont, Jean-Marc Rigaux, Liliane Schraûwen, Daniel Simon, Lise Thiry, Monique Thomassettie, Bruno Wajkop, Yves Wellens.